Accueil - Formations - Praticien en thérapies brèves hypnose
Le parcours de formation au métier d’hypnopraticien s’adresse à toute personne souhaitant utiliser l’hypnose dans un cadre d’accompagnement non médical. Il est particulièrement adapté aux professionnels de la relation d’aide, du coaching, du soin, du bien-être ou de l’éducation, mais aussi aux personnes en reconversion, attirées par une approche intégrative du changement.
Aucune formation préalable en psychologie n’est exigée, mais un véritable intérêt pour l’écoute, la posture d’accompagnant et la compréhension de l’humain est attendu. Le cursus s’inscrit dans une démarche rigoureuse, progressive, mêlant outils techniques, travail personnel et développement d’une posture professionnelle.
Le parcours s’articule autour de trois modules.
L’ensemble du parcours vise une autonomie d’accompagnement sur des problématiques non pathologiques, dans un cadre clairement défini.
L’accompagnement concerne des personnes traversant des situations de mal-être léger ou des questionnements de vie :
– stress ou anxiété passagère,
– perte de confiance, baisse de motivation,
– difficultés relationnelles,
– troubles du sommeil,
– comportements à ajuster (tabac, alimentation, procrastination),
– deuils, séparations, reconversions, transitions professionnelles.
L’accompagnant en thérapies brèves intervient dans une logique de soutien, de développement personnel ou de mobilisation des ressources. Il ne travaille pas sur les pathologies, mais sur les freins, les croyances, les émotions ou les comportements qui limitent l’action ou l’épanouissement.
L’accompagnement peut concerner des adultes, des jeunes adultes, parfois des couples ou des groupes, selon la pratique développée.
Le métier d’hypnopraticien se pratique dans un cadre strictement non médical. Aucun diagnostic n’est posé, aucun traitement de trouble psychique ou psychiatrique n’est proposé.
L’accompagnement vise à soutenir, à mobiliser les ressources internes, à faciliter des changements concrets, sans jamais empiéter sur le champ du soin.
Toute suspicion de pathologie lourde, d’état de souffrance aiguë ou de dynamique d’emprise nécessite une orientation vers un professionnel de santé mentale.
Le respect du cadre légal, le recours à la supervision et la formation continue sont des éléments clés de la posture professionnelle.
L’hypnose ne peut pas “guérir”, ni “faire changer” quelqu’un malgré lui. Elle s’inscrit dans une démarche d’autonomie, de responsabilité et de co-construction. L’alliance, la déontologie et la clarté du cadre restent fondamentales.
L’hypnopraticien reçoit en entretien des personnes souhaitant dépasser une difficulté, atteindre un objectif ou mieux vivre un changement.
Chaque séance commence par un échange : clarification de la demande, définition de l’objectif, repérage des freins et des ressources. Ensuite, selon les besoins, l’accompagnement peut inclure une induction hypnotique, une métaphore thérapeutique, un protocole de changement, un travail sur les représentations sensorielles ou les croyances limitantes.
Certaines interventions peuvent être très ciblées (ex. arrêt du tabac, préparation à un examen), d’autres s’inscrivent dans un cheminement plus global.
L’hypnopraticien ajuste ses techniques au profil de la personne, au rythme du processus, et à la dynamique relationnelle en place.
En fonction de sa formation, il peut aussi accompagner des groupes, des familles ou des équipes dans une logique systémique. Il structure son activité dans le respect du cadre professionnel, en construisant une pratique cohérente, éthique et évolutive.
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